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OCTOBRE mer 11 oct 74 LE GLAIZIL (GAP), Cinevadrouille jeu 12 74 DOUSSARD circuit itinérant / banlieue Annecy ven 13 REGNER, Cinébus sam 14 38 St MARTIN d'HERES dim 15 74 CRAN GEVRIER (banlieue Annecy), La Turbine+ lun 16 CLUSES mardi 17 VILLARS BONNOT mer 18 oct 1 BELLEGARDE (01), Les Variétés jeudi 19 74 LA ROCHE SUR FORON sam 21 73 SAINT MICHEL DE MAURIENNE dim 22 6 VENCE, Rencontres, 18H30 lundi 23 16 CHASSENEUIL, Cinevox mardi 24 16 ANGOULEME/CNBDI "Vivre là" mercredi 25 oct 69 LYON / Institut Louis Lumière jeudi 26 46 GRAMAT vendredi 27 24 BUISSON DE CADOUIN samedi 28 24 BUISSON DE CADOUIN dim 29 24 BUISSON DE CADOUIN lundi 30 oct 24 TERRASSON NOVEMBRE Vendredi 3 69 LYON, CINE-DUCHERE samedi 4 69 St-MARTIN EN HAUT, Paradiso dimanche 5 69 VILLEURBANNE, Le Zola lundi 6 69 Ste-FOY LES LYON, Jeanne Mourguet mercredi 8 44 CHATEAUBRIANT , ATLANTIC CINE lundi 13 26 NYONS mardi 14 84 VAISON LA ROMAINE mer 15 nov 13 MARSEILLE/VARIETES « Com Equit » jeudi 16 MONTLUCON, LE PALACE vendredi 17 COURNON, LE GERGOVIE samedi 18 74 LA BIOLLE samedi 25 6 MOUANS/SARTOIX, La Strada à 16H lundi 27 29 YNZINZAC LOCHRIST, le vulcain mardi 28 29 PLOUGONVELIN, le dauphin mercredi 29 29 Châteaulin / Run ar Puns / "Smoothie" jeudi 30 nov 29 Saint-Pol-de-Léon / Majestic DECEMBRE ven 1er Déc 29 Plougastel-Daoulas / l'Image Revue de presse Après la vie comme elle va, le réalisateur Jean-Henri Meunier nous propose son nouveau film. Ce deuxième long métrage se veut plus grave, plus caustique et aborde des thèmes qui sont chers à notre syndicat, la terre, l’alimentation, les pesticides, le travail, le savoir faire et leur transmissions. Serge Itkine et Henri Dardé entre autres sont des porte- paroles lucides et éclairés qui, grâce à leur réflexion et leurs propos, approfondissent la philosophie de cette œuvre. L’info paysanne (journal de la confédération Paysanne) Ici Najac, à vous la terre fait partie de ces documentaires qui portent haut la parole des hommes, d’un lieu, d’un monde… L’express Ces gens grandioses vont vous faire rire, réfléchir, rêver Paris Match Ce qui compte pour Jean-Henri Meunier, c’est d’être proche de ceux qu’il filme. Son cinéma d’excellent voisinage nous parle d’un lien humain qui va encore de soi. A Najac, le bonheur est dans le « près », et on se prend à rêver que tous les villages, toutes les villes soient comme ça. Télérama Un témoignage attachant sur une certaine façon d’être « citoyen ». Le Monde Le petit village aveyronnais de Najac, estampillé « des plus beaux villages de France » ressemble à une réserve d’indiens : tout s’y fait à la main (le pain, la traite des vaches), à l’ancienne, à la rigolade, et les villageois, du fou de mécanique à l’irlandais chantant en passant par le chef de gare, débordent d’intelligence et de fantaisie. Le canard enchaîné Najac, loin de la mondialisation, vit, respire et souffle à l’abri de la course à la consommation, respectueux de ce qui l'entoure. Loin d'être un film altermondialiste traditionnel, loin des clichés ruraux habituels et redondants, ce film-documentaire propose simplement et avec humilité de partir à la rencontre des voisins de Meunier : le vieux qui collectionnent les carcasses de voiture, le chef de gare qui tue le temps entre deux trains, le clown… et tous les autres. Ils sont autant de personnages qui prennent le temps. Tout simplement. Le résultat de ces centaines d'heures de rush transformées en documentaire est rythmé, drôle sans être caricatural et remet les idées en place ! Cinetampes Dans la lignée de Tati ou Pagnol, (ce) film est un regard tendre sur un petit coin d’humanité perdu entre ciel et terre. Le Pèlerin magazine Ce documentaire montre une France d'en bas qui ne cesse de regarder vers le haut. Vers cette mondialisation envahissante (…) Ici Najac ne tourne jamais en dérision ces vrais personnages de cinéma. Qui nous apprennent davantage sur le monde d'aujourd'hui que n'importe quel politique ! Pil Le Site Drôle, cocasse, pittoresque, tendre et authentique, le voyage à Najac se fait aussi porteur de quelques messages bien dans l’air du temps. Ouest-France Najac certes, mais la résonance du monde est ici forte, des déchets nucléaires à la crainte d’une guerre là-bas, les villageois veulent protéger leur site magnifique et vivre en paix et en labeur avec les animaux, les clowns et les philosophes. Carole Wrona – Critikat Ici Najac… exhale des parfums d’une douce France où, rétif au formatage, on est encore maître de son temps et de son destin. Le Journal du Dimanche Une douce apologie d’un certain art de vivre proche des hommes et de la nature, sans martèlement ni doctrine, loin de la mondialisation économique et de la sainte croissance. La Dépêche du Midi Ce que (Jean-Henri Meunier) capte, c’est l’humanité en chacun de nous, ce petit supplément d’âme qui redonne espoir en l’Homme, une promesse apaisante, lumineuse et joyeuse en l’avenir. Voir ce film est probablement la démarche la plus vitale du moment, un acte à la fois de résistance, de solidarité et d’humanité. MPM – Les Cinévores A Najac, c’est l’humain qui prend aux tripes. Cinélive Frappés au coin du bon sens, ces vieux terriens remplis de sagesse et de verve nous communiquent une vision du monde réconfortante et anticonformiste. Benzine Ce film est d’essence révolutionnaire… (et) nous envoie une rafale de vocables que le pouvoir ne veut plus entendre : ouvrier, beatnik, déprime, clown, contestataire, ami de la terre… Salade-niçoise.net Sur fond de risque écologique mondialisé, l’humanité du regard de ces personnages et le rythme que leurs vies imposent au film se révèlent un éloge de la paresse gentiment subversif. Positif « Mon cher petit village global » – Aspirer à l’universel en braquant sa caméra sur son patelin le cinéaste français Jean-Henri Meunier l’a fait mieux que personne (…) André Lavoie, Le Devoir (Montréal) (…), c’est une visite dans le cœur de l’homme. Un cœur qui bat, au rythme d’un travail ingrat ou d’une sieste prometteuse, qui galope un peu pour un désir, pas complètement enfoui, de fuir et devient lourd devant l’évidence qu’on va rester… Midi Libre « Ici Najac… » c’est la véritable « positive attitude ». L’Est Républicain La vérité mise à nu, voilà ce que nous donne à voir Jean-Henri Meunier. Studio Un film tout imprégné de vraie poésie, d’une sensibilité rare, filmé par un réalisateur qui a le don de s’effacer derrière sa caméra, afin de laisser ses personnages continuer à vivre leur propre vie. Jean-Do Bernard, Crossroads Une bulle d’air légère, bien, sentie et tout à fait nécessaire. Zurban Les habitants de Najac prennent le taureau par les cornes et décident de vivre autrement chez eux et maintenant. Témoignage Chrétien Dans la salle, on ne se lasse pas d’écouter les anecdotes, les couplets et les répliques cocasses, simples et authentiques de ces irréductibles terriens alternatifs, loin des clichés du péquenot alter mondialiste traditionnel. Lyon Capitale Un docu bio avec de vrais morceaux de vie. Libération Classement spectateurs d’ALLOCINE .COM : « meilleur film sorti la semaine du 7 juin » http://www.allocine.fr/critique/semainepublic_gen_date=07/06/2006.html extraits de l’avis des spectateurs Agasse1 – le 19/06/2006 Un film a ne surtout pas manquer ! C'est plein d'humour, d'intelligence, de sensibilité, de poésie. Ouah ça fait du bien ce genre de film à côté de tous les navets que des millions de personnes vont voir ! 5 étoiles pour cet excellent film ! Musimon – le 09/06/2006 On s'assoit, on regarde ce film au montage déroutant, on ricane, on sourit, on écoute, on comprend. Le film finit par envelopper le spectateur dans une gangue d'émotion. La vie EST à Najac. Tout y semble vrai, loin des médias pour nous placer des sous-titrages et dénaturer le film. C'est la fin, le générique passe, les lumières s'allument, personne ne bouge. Les lumières reviennent et les gens partent, très doucement, en silence. (…) Ici Najac, à vous la terre JamesDomb – le 09/06/2006 Quelque part en Aveyron, un petit village de l'Aveyron peuplé d'irréductibles résiste encore et toujours à la mondialisation…Bienvenue à Najac, 750 habitants où le calme et la tranquillité règnent. Bourré d'humour, furieusement poétique et bucolique, Meunier passe d'un habitant à l'autre en les filmant en gros plan, en filmant leurs mains. On a bien entendu nos "personnages" préférés et j'ai moi-même une grande affection pour "Le poète de la mécanique" et "Le chef de gare". (…) Meunier passe de l'un à l'autre, recueille les confidences de chacun sur ce qu'ils pensent de la mondialisation et n'hésitent pas à avouer leurs inquiétudes grandissantes quant à l'avenir de la nature qui les entoure. Chaque personnage regarde la vie avec philosophie et on regrette alors de quitter Najac au bout d'1h40. On sort du ciné avec l'espoir de faire un jour un détour par Najac. Annasylphide – le 10/06/2006 Un film en trompe-l’œil qui se révèle moins caricatural que déjanté. On glisse tout d'abord sur le rythme de la mise en scène drolatique du réalisateur, avant d'être plongée au cœur de ces hommes et femmes riches en nuances, persévérance, espérances, mais aussi défiance. Le portrait impressionniste de ces gens nous illumine par leur authenticité et leur grâce. Mais c'est une critique acerbe du grand gâchis de notre société marchande qui ponctue le récit en filigrane et qui lui donne toute sa densité. Filmer l’urgence au microscope donne la mesure du macro danger… et la solution nous est donnée : allier économie et solidarité. Un petit bijou d’humanité. Portrait d'une autre France (radar.globetrotter.net) Najac est un village dans l'Aveyron comme il en existe des centaines en France. On y rencontre des gens dont les préoccupations sont beaucoup plus terre à terre que les films intellos parisiens ! Ici on rencontre un paysan/meunier/éleveur/boulanger pour qui faire bien est plus important que faire beaucoup ! On rencontre un chef de gare qui ne semble jamais voir de train et qui doit faire preuve de beaucoup d'imagination pour tuer l'ennui. On rencontre un "petit vieux" intuable qui se passionne pour les vieilles voitures et qui ne vit que pour cette passion … Bref c'est rafraichissant, le film se passe sur une durée telle que les gens s'ouvrent complètement, plus de faux semblant, plus de langue de bois. Quel plaisir !

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